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PARACHAH : « DEVARIYM »  (les paroles)


“Qui habite le secret d’Elyon passe la nuit à l’ombre de Shaddaï, disant à YHVH : Mon abri, ma forteresse, mon Élohaï sur qui je compte ! C’est lui qui t’arrache au piège des chasseurs qui s’affaire à détruire ; il te couvre de ses ailes, tu t’abrites sous ses ailes. Armure et bouclier, sa vérité. Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, de la flèche qui vole de jour, de la peste qui marche dans l’obscurité, ni le fléau qui dévaste à midi. Qu’il en tombe mille à tes côtés et dix mille à ta droite, toi, tu restes hors d’atteinte. Il suffit que tes yeux regardent, tu verras la rétribution des criminels, toi qui dis : YHVH mon abri ! et qui fais d’Elyon ton refuge. Le malheur ne peut fondre sur toi, ni la plaie approcher de ta tente : IL a pour toi donné ordre à ses anges de te garder en toutes tes routes. Sur leurs mains ils te porteront pour que ton pied ne heurte pas la pierre ; sur le fauve et la vipère tu marcheras, tu fouleras le lionceau et le dragon. Puisqu’il est épris de Moi, Je le délivre. Je l’exalte puisqu’il connaît mon Nom. Il crie vers Moi et Je lui réponds : « Moi-même Je suis avec lui dans la détresse, Je le délivre et Je le glorifie, à longueur de jours Je veux le rassasier et Je ferai qu’il voie mon Salut. »” (Ps 91)

Lectures : Parachah : Dévariym/Deutéronome 1 :1 à 3 :22 Haftarah : YéshaYahou/Isaïe 1 :1-27 Bérith Hadachah : Hahizzayon/Apocalypse 2 :18-29 Rappel : les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yéshoua. Résumé de la Parachah : Après la conquête des territoires situés à l’Est du Jourdain, et avant l’entrée d’Israël dans le territoire de Kénaan, Moshéh, à qui il ne fut pas permis de pénétrer en Eréts Israël, engage le long exposé de « Dévariym » ou « Deutéronome ». Dans la présente parachah, il rappelle au peuple son errance depuis quarante années dans le désert et comment, malgré leurs révoltes, YHVH les a conduits. Il rappelle, alors que la génération de ceux qui sont sortis d’Égypte est disparue, que YHVH leur donnait l’ordre de monter vers le Nord par la rive Est du Jourdain, en épargnant les populations issues de Esaü et de Loth, mais en livrant la guerre aux midiyanites et aux Amoréens qu’ils dépossédèrent de territoires situés à l’Est du fleuve : à partir de l’Arnon, vers le milieu de la « mer salée » jusqu’au « Mont Hermon » au Nord.


LES PRINCIPES DE LA VICTOIRE AVEC ELOHIM TSEVAOT TSEVAOT: "Tsaba'"Ce qui s'avance en force, armée, guerre, combat 2 Samuel 7: 27 Car toi-même, Eternel des armées, Dieu d'Israël, tu t'es révélé à ton serviteur, en disant : Je te fonderai une maison ! C'est pourquoi ton serviteur a pris courage pour t'adresser cette prière.

1) IL N Y A PAS DE VICTOIRE SANS COMBAT 2) IL N Y A PAS D'ELEVATION SANS LE PRIX A PAYER (mais il faut le payer selon les normes du Souffle de sainteté) 3) IL Y A PAS DE POSSESSION TERRITORIALE SANS LA DEPOSSESSION PAR (la depossession du quand adverse engendre souvenr une guerre acharnée) 4) IL N Y A PAS D'ELEVATION DANS LA GLOIRE SANS L'HUMILITE (DES FOIS MEME L'HUMILIATION )

Compte rendu de retour d’expérience, points clé, et vision d’avenir

Assurément Moshéh n’a rien à envier aux meilleurs « managers » du XXIème siècle ; nous pourrions même penser que ces derniers n’ont fait qu’emprunter la méthode du premier ! C’est un véritable dossier « bouclé » de fin de projet ou de fin de mission que Moshéh confira de la part d’Élohim à ses successeurs : le livre « Dévariym ». Ce n’est pas un traité de théologie, ni de philo, ni de bilan comptable, accessible aux seuls « initiés », mais un recueil de vécu, de spiritualité, d’humanité, de sens, d’espérance du Royaume, sans complaisance ni illusion : le résultat du cheminement réel des hommes sous le regard d’Élohim. Un Élohim de grâce et de justice qui ne cesse de corriger et de réajuster les écarts de ses enfants. En somme ce n’est pas un ouvrage d’intellectuel, ni d’illuminé, ni de mystique, ni de tradition de religieux, ni de rêveur… C’est du concret, car notre Élohim est VIE ! Tout ce qui n’est pas transférable en acte de vie n’est que du verbiage. La Parole d’Élohim n’est pas du verbiage, car elle ne LUI revient jamais sans avoir accompli ce pourquoi elle est envoyée ! Yéshoua est la Parole d’Élohim ! Yéshoua est la Torah Vivante. Fort de ce principe, méfions-nous de toute « doctrine » qui ne contient en elle-même que de l’abstraction, du mysticisme, car dans ces formules se profilent aisément les « expressions idolâtres » sans aucun but pratique d’évolution, donc de vie. Le veau d’or en est une illustration au même titre que « la sainte trinité orthodoxe » et autres panthéons issus de la matrice babylonienne. Bien qu’après sa mort Moshéh savait que le peuple allait honteusement se corrompre (De. 31 :29), il écrivait néanmoins cette réplique « essentielle » de la Torah qui se placerait à côté de l’arche d’Alliance pour servir de témoignage. L’écrit n’est toutefois pas sans certaines subtilités de type pédagogique, de références, d’évaluation d’expériences, bonnes ou mauvaises, de directions, de conseils, d’ordres, pour orienter et favoriser le devenir relationnel du peuple avec son Élohim. Car le texte fut écrit pour être mis en œuvre, pour être mis en vie, et non pour être transformé en objet de contemplation, à l’exemple des idoles ! En effet, la Torah devait s’écrire dans les cœurs. Le parcours terrestre de Moshéh s’achève, YHVH l’en a informé. Cet homme, ex prince d’Egypte, immergé dans une relation d’exception avec YHVH, de qui il recevait les instructions « Péh léPéh » : bouche à bouche, a conduit le peuple d’Israël à travers le désert pendant une quarantaine d’années. Quarante années à « gérer ou gouverner » un peuple vous apprend beaucoup sur ce peuple, surtout si vous êtes humble, patient et observateur comme Moshéh. Alors avec finesse et douceur pour ne pas heurter davantage les consciences blessées, Moshéh relate le parcours tumultueux du peuple depuis Horév jusqu’à la guerre contre Og et Sihon. Quarante années clairsemées de révoltes et de murmures… Moshéh en fait mention, non pour condamner mais pour mémoriser, non pour écraser le peuple sous la culpabilité mais pour lui rappeler la miséricorde mais aussi la justice de YHVH à son égard. Moshéh n’a pas besoin d’insister lourdement sur les erreurs, leur simple évocation suffira auprès d’une nouvelle génération qui n’a pas connu l’Egypte, mais qui vécut certaines péripéties, En effet, ceux à qui Moshéh s’adresse reviennent victorieux des Amoréens, sans aucune perte ! Ces mêmes Amoréens qui effrayèrent leurs pères qui dirent : « C’est parce que YHVH a de la haine pour nous, qu’IL nous a fait sortir du pays de Mitsraïm, afin de nous livrer entre les mains des Amoréens et de nous détruire » (De.1 :27) Toutefois, malgré sa haute valeur morale, Moshéh ne se désolidarise pas de son peuple, il s’inscrit pour lui-même dans les initiatives malheureuses d’Israël, en laissant comprendre que l’organisation hiérarchique « pyramidale » venait de lui (1 :14), que l’envoi des espions aurait été une concession faite au peuple (1 :22), et qu’il ne pouvait entrer en Kénaan à cause du peuple (1 :37) C’est une façon de dire humblement et par des preuves concrètes : je ne suis pas meilleur que vous ! Ce comportement de Moshéh s’identifie à celui de Daniel, qui reste un modèle pour tous les vrais intercesseurs en faveur d’Israël : « Et maintenant, Seigneur, notre Élohim, Toi qui as fait sortir ton peuple du pays d'Egypte par ta main puissante, et qui t'es fait un Nom comme il l'est aujourd'hui, nous avons péché, nous avons commis l'iniquité. » (Daniel 9:15 ) En écrivant cette Torah, Moshéh l’inspiré agit en bon pédagogue qui sait que le disciple apprend d’avantage de ses échecs que de ses réussites ! Cela peut paraître étonnant, mais lorsque nous réussissons à atteindre un objectif du premier coup et sans problème nous disons : j’ai réussi ! Mais nous avons de la difficulté à expliquer pourquoi et comment nous avons réussi ! Nous pouvons seulement dire : Béni soit le Seigneur qui m’a conduit et a octroyé de la réussite à mon projet ! A l’inverse lorsque nous échouons, nous cherchons pourquoi ça ne marche pas et tentons de rectifier l’erreur… pour ne plus la recommencer. Et nous disons : j’ai compris pourquoi ça n’a pas marché ! Si toutefois nous observons pour apprendre et ne pas oublier. Dans ce cas, nous pouvons dire : Merci Seigneur de m’avoir instruit et ouvert les yeux ! Paradoxe militaire « Lorsque tous les hommes de guerre eurent disparu par la mort du milieu du peuple.» (Deutéronome 2:16) Quel général en chef de cette planète, qui sait que des guerres contre de puissants ennemis se préparent, attendrait-il que tous ses soldats aguerris et vétérans aient disparus ? Puis projetterai t il de partir en campagne avec des hommes non formés aux techniques de combat, n’ayant jamais observé une quelconque bataille, n’ayant aucune connaissance d’une quelconque tactique ou stratégie militaire ? Cela tient de l’inconscience, dirions-nous. « Ne les craignez point ; car YHVH, votre Élohim, combattra lui-même pour vous. » (Deutéronome 3:22) « Mon Royaume n’est pas de ce monde ! ». Cela signifie que le Royaume d’Élohim ne s’identifie en rien au mode de pensée et de fonctionnement de ce monde. La victoire d’une armée, et notamment celle d’Israël, ne réside pas dans sa puissance apparente aux yeux des hommes, ni dans la supériorité de stratège de ses généraux, mais dans son état de sanctification, de pureté, car dans ce cas, YHVH Tsévaoth EST au milieu de l’armée. L’armée d’Israël était constituée de « Qédochiym » des saints, accompagnés du sacrificateur Piynéhas avec les trompettes d’argent et des instruments sacrés. Cette génération d’hommes née dans le désert, élevée et éduquée sous le signe de la Torah, faisait dorénavant d’Israël un peuple à part dont toutes les références différaient de celles des nations. Même le grand Bilam ne put rien faire contre l’Israël d’Élohim, car il était saint. Prions pour que ce qui fut une réalité de sainteté sous Moshéh et Yéhoshoua redevienne la réalité d’un jour proche. Mais réfléchissons un instant aux futurs « Balaq-Bilam » face aux saints gardant « les ordres de YHVH et le témoignage de Yéshoua » ! Rien ne change sous le soleil ! Soyons sur nos gardes. Les Philistins, origine « Les Avviens, qui habitaient dans des villages jusqu'à Gaza, furent détruits par les Kaphtorim, sortis de Kaphtor, qui s'établirent à leur place. » (Deutéronome 2:23) Bien que les avis divergent, il est admis que Kaphtor serait une ile de la mer Égée, de civilisation mycénienne (Grèce antique). Ces « Kaphtorim », peuple de la mer, furent vaincus par les Égyptiens, s’établirent sur la bande de Gaza et furent appelés « Pélichtim » c’est-à-dire Philistins, du nom d’un autre descendant de Mitsraim ( ?). Philistins signifie « ceux qui viennent d’ailleurs » « les allogènes ». Allogène est l’opposé d’indigène « ceux qui sont d’origine du pays ». Les Philistins [Pélécheth] sont donc désignés par un nom les définissant comme une population extérieure à la terre de Kénaan qu’ils ont envahie en éliminant les Avviens. Ces philistins n’étaient pas des sémites, plusieurs estiment qu’ils n’étaient pas davantage descendants de Mitsraïm mais bien des habitants des iles méditerranéennes, c'est-à-dire des « Yaphétites ». Pélichtim est un mot hébreu dont la racine : vlp Péh-Lamed-Chin a une relation avec le verbe « PaLaCh » c’est-à-dire : envahir. Le terme Philistin (Philistie) mutera plus tard en Palestine. C’est en 135, après la révolte de Bar Kokhva, que l’empereur Hadrien vida le territoire d’Israël de la présence de ses habitants juifs et renomma toute la contrée : Palestine. La Palestine n’est pas représentative d’une nation, mais uniquement une appellation de province romaine. Conclusion : Se dire palestinien dans le contexte du XXIe siècle, c’est revendiquer sémantiquement la qualité et l’identification d’envahisseurs étrangers à la terre d’Israël, bien qu’il n’y ait de surcroit aucun rapport ethnique ou religieux entre les philistins de l’antiquité et les « palestiniens » de 1967. Pensée « Notre libération, la sortie de notre Egypte, la Torah vivante écrite dans le cœur, le Mashiah en nous, l’espérance de la gloire ». Quelle belle phrase ! Quelle douce musique, pleine de félicité, de merveilleux, mais qu’est-ce que ça implique, de quoi s’agit-il ? Car passé le moment de l’émerveillement, « la liberté », il faut bien se mettre à l’œuvre et appréhender la réalité pratique du merveilleux, « le désert » ! C’est à ce moment-là que les difficultés, les incompréhensions, les insatisfactions apparaissent. Lorsqu’une réponse à nos questions se précise, par une lecture de la Parole ou par une explication pertinente ou par un vécu, mais que cette réponse diffère de ce que nous en pensions ou en souhaitions, nous disons facilement : Ah ! Je ne vois pas cela de cette manière, cette réponse ne me satisfait pas, et nous refusons l’évidence. Illustrons notre pensée par un exemple issu du texte de Matthieu : « et voici un (quidam) s’approche de lui dit : Rabbi quoi de bon je ferai afin d’obtenir la vie éternelle, Il lui dit donc pourquoi me questionnes tu au sujet de la bonne (chose) une est la bonne (chose ; ou il n’y a qu’une bonne chose/qu’un bon remède) car si tu veux entrer dans la vie observe les mitsvoth (commandements) il Lui dit lesquels ? Le Yéshoua dit : les, tu ne tueras pas, tu n’adultéreras pas, tu ne déroberas pas, tu ne témoigneras pas faussement, honore le père et la mère, et tu aimeras ton proche comme toi même… » (Mt. 29 :16-30 au mot à mot) Un jeune homme visiblement observateur de la Torah consulte le « Rabbi Yéshoua». Nous comprenons que ce jeune homme est un fervent croyant. Le Seigneur n’avait pas même besoin de lui citer quelques mitsvoth (commandements) parmi les dix paroles du décalogue que ce jeune homme devait certainement connaitre par cœur depuis longtemps. Sa question était : que dois-je faire de « bon » (grec : agaton = bon remède) avec l’idée sousjacente de « faire en plus » ? Pourquoi ? Parce que ce jeune homme soupçonnait que le fait de respecter toute la Torah, comme il le faisait ( j’ai observé toutes ces choses que me manque-til encore ?), ce n’était pas suffisant pour obtenir la vie éternelle. Ce jeune avait perçu quelque chose de grand et de fort, donc il questionne ce Rabbi extraordinaire. Yéshoua semble répondre par une banalité : « il n’y a de bon qu’une seule chose : respecte les mitsvoth ! ». Mais le jeune homme insiste car il ne comprend pas bien, il pense peut-être confusément qu’il y a des « choses » qu’il ne fait pas. Le Seigneur lui précise donc la nature de ce qu’il faut respecter et il cite quelques paroles (5) du décalogue en résumant la pensée de la relation à autrui : aime ton proche comme toi-même (ce qui n’élude pas pour autant les 5 autres paroles relatives à la convoitise et à l’adoration du seul vrai Élohim). La consigne était donc : observe les commandements (tous). Mais le jeune homme qui observe tous les commandements voulait savoir ce qu’il devait faire de plus pour obtenir la vie éternelle, comme si une « bonne action en soi » pouvait procurer la vie éternelle. Il comprenait de manière confuse que la vie éternelle demande « davantage d’engagement ». Le Seigneur lui dit alors, en plus de tout cela si tu veux être parfait, cette chose que tu veux faire absolument, je vais t’en proposer une : donne tout ce que tu possèdes puis suis-moi. Le jeune homme riche ne s’attendait pas à cette réponse ; il s’en retourne tout triste. Car obtenir la vie consistait, sur la base de la foi et de l’obéissance à la Torah, à suivre dorénavant l’Agneau partout où IL va ! Gardez les commandements, voilà bien le genre de réponse qui ne plait guère. Et comme le fit le jeune homme, qui ne mettait pas en cause les commandements déjà reçus, la majorité des « chrétiens » d’aujourd’hui répondra : oui, mais lesquels, sous-entendant une distinction entre la nouvelle et la première alliance ? Tous et de façon beaucoup plus profonde, comme Moi je les ai observés, répondra le Seigneur « car si votre justice ne dépasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le Royaume ». Et nous savons que ces derniers étaient religieusement très scrupuleux. Le jeune homme juif voulait « ajouter » à la Torah, comme si elle ne suffisait pas. Il pensait réaliser déjà toute la Torah (!). La chrétienté « enlève» à la Torah en pensant que ces choses sont inutiles, et que sa richesse « spirituelle» supposée l’en dispense et parce qu’en 2000 ans les « choses » de la Parole auraient évolué ! La réponse de l’Adon Yéshoua est claire et pourrait s’énoncer ainsi : « Je vous ai parlé par Moshéh, Je ne suis pas venu réduire à rien les écrits de Moshéh, au contraire Je suis venu les accomplir, les confirmer en leur redonnant leur sens originel, leur puissance, c’est-à-dire vous attester qu’ils sont de Moi, Moi qui suis venu du Père.» « Et il leur dit, c’est pertinemment que vous tenez pour nul le commandement d’Élohim, si c’est votre tradition que vous imposez. » (Marc 7:9 Van Cangh et Thoumpsin) Cette phrase ne s’adresse pas qu’aux religieux du judaïsme de l’époque apostolique. Aujourd’hui même considérons objectivement les impositions d’habitudes dogmatiques, comme le remplacement du Shabbat par le dimanche par exemple, et tout le reste sans rien omettre… Et demandons-nous si nous sommes en accord avec le bon souhait de notre Père ou si nous appliquons notre propre « raisonnement » en nous persuadant par une autojustification certainement irrecevable au regard du Seigneur… « En gardant Mes commandements qui sont les commandements de Mon Père, vous entrez dans le processus de la vie, car alors mes Paroles deviennent actes, puissance de vie qui agit en vous ! Mes Paroles vous transforment, vous sanctifient, vous purifient et dirigent vos œuvres. Vous n’êtes pas sauvés par vos œuvres, mais par elles vous témoignez de votre appartenance, vous glorifiez mon Père comme Moi Je l’ai glorifié : soyez Mes imitateurs. » « J’ai vaincu la mort, Je suis désormais le passage ouvert vers le Père : alors quiconque VIT et croit en Moi aura la vie éternelle. » Et vivre : c’est être en action dans l’obéissance, et non en état passif réduit aux intentions et au sentiment, comme aux demi-mesures (voir Mt. 7 :21, Ap. 3 :16) « Car si vous croyiez Moshéh, vous me croiriez aussi, parce qu'il a écrit à mon sujet. Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ? » (Jean 5:46-47 NEG)

CROYEZ VOUS VRAIMENT A MOSHE DE LA TORAH D'ELOHIM : -JUDAISME RABBINIQUE ? -CHRISTIANISME ? -MESSINISME RABBINISER ? -OU TANT D'AUTRES DENOMINATION CREE PAR DES HOMMES. PAR BLOG KEHILA VU PAR OMADI Samuel le Messager. Shabbat Shalom véshavoua tov

En savoir plus : http://www.les-messagers.net/news/parachah-parole-de-la-semaine-devariym-les-paroles/

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